
Quatrième de couverture :
De prime abord, Kurouzu ressemble à une banale petite ville de campagne japonaise. Coincée entre de hautes montagnes et une mer aux reflets glacés, elle laisse le cours du temps sinuer silencieusement dans des rues tristes et ternes, que rien ne parvient à animer. Mais, au-delà des apparences moroses, il existe un mal profond, terrible et indicible qui plane au-dessus des habitants. Le jeune Shuichi ressent ce mal. Il s’en ouvre à Kirie, sa petite amie, mais celle-ci ne ressent pas ce malaise. Mais...
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