
Quatrième de couverture :
Comme l’ont déjà donné à voir ou à lire quelques cinéastes (dont Kazan) et plusieurs écrivains (p.e. Fat City de Leonard Gardner), le Noble Art n’est pas une fin en soi. Quand on parle de boxe, il est très vite question de tas d’autres choses : de cupidité, de jalousie, de souffrance physique, de haines raciales, mais aussi de courage surhumain, de générosité, de revanche sociale. Comique lorsque le soigneur surprend un poids léger chicano à comploter en espagnol avec son manager dans le but de lui rafler...
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